Follow me :
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Slonkÿ
Little Warrior.
Description :
I'm always Free.
Mes rêves se brisent sur tes phalanges...
Nobody knows where you are
How near or how far
Shine on you
Crazy Diamond...
"-Votre définition de l'obscénité ?
- Je t'aime."
G. Depardieu
Gapéropodia, la planète des Escargots.
Ne regardez pas tristement vers le passé, il ne revient pas.
Ca court pas les palaces, ni les rues, ni les ports,
Elle t'as laissé sur place avec le diable au corps,
Elle est restée de glace quand tu hurlais à la mort,
Elle était jamais jouasse et t'avais tous les torts,
Elle t'as niqué ta race mais tu la pleures encore,
Elle te toise, elle te snobe on te croises plus jamais sobre,
Elle t'as laissé seul seul seul seul sur le globe,
Elle est là tu la sens et tu sens que tu l'as dans le sang.
I know who I am
And I don't care what you think
Cause my spirit is high
My heart is pitiless
I just want you to swear
That you'll love me
Forever and ever...
Fuck you
All of them "DECAPITATED" !
You can try to Kill me,
I'm so easy.
I would like to shoot you on the head,
yes Man, I love you, you know.
But you can say anything,
I won't believe you.
Because now,
I need nothing except me.
Bye.
Quelques titres et proverbes de mes articles ne sont pas de moi, le reste oui.
Hommages :
Marie
Edmond & Yvonne
Olivier
Macéo
(---Cillit---------)
STEPHEN KING
Il a eu une attaque massive. Il est mort avec sa cravate dessus. Pensez-vous que pourrait être l'équivalent de notre génération de ce vieil adage de mourir avec ses bottes?
Get busy living, or get busy dying.
Le français est la langue qui transforme la poussière en romance.
Je suis l'équivalent littéraire d'un Big Mac et des frites.
Bon... les pubs sont finies. Accroche-toi à mon bras maintenant. Serre fort. Nous allons entrer dans bien des lieux sombres, mais je crois connaître le chemin. Ne lâche pas mon bras, c'est tout. Et si je devais t'embrasser dans le noir, ce ne serait pas une grande affaire, ce serait simplement que je t'aime.
Maintenant, écoute.
J'ai regardé Titanic quand je suis rentré de l'hôpital, et j'ai pleuré. Je savais que mon QI avait été endommagé.
Personne n'a été vraiment surpris quand c'est arrivé, pas vraiment, pas sur le niveau du subconscient où les choses sauvages croître.
Seuls les ennemis se disent la vérité; amis et amants se trouvent sans cesse, pris dans la toile du devoir.
La beauté de la folie religieuse, c'est qu'il a le pouvoir de tout expliquer. Une fois que Dieu (ou Satan) est reconnue comme la première cause de tout ce qui se passe dans le monde des mortels, rien n'est laissé au hasard ... logique peut être heureusement jeté par la fenêtre.
Les gens pensent que je dois être une personne très étrange. Ce n'est pas correct. J'ai le c½ur d'un petit garçon. Il est dans un bocal sur mon bureau.
La voix du diable est douce à entendre.
L'endroit où vous faites votre stand ne comptait. Seulement vous étiez là ... et toujours sur vos pieds.
La confiance de l'innocent est l'outil le plus utile du menteur.
Nous faisons des horreurs pour nous aider à faire face aux vérités.
Les gens apprécient les faux culs : ils se reconnaissent en eux, et ça fait tellement de bien quand on surprend quelqu'un le pantalon baissé et que ce n'est pas vous.
(----------Bang--)
Maman retire-moi cet insigne
Je ne peux plus l'utiliser
Cela devient de plus en plus sombre
Je me sens comme si je frappais à la porte du paradis
Frapper aux portes du paradis
Maman jette mes flingues au sol
Je ne peux plus m'en servir
Ce froid nuage noir est en train de descendre
Je me sens comme si je frappais à la porte du paradis
Frapper aux portes du paradis
Tu ferais mieux de commencer à flairer ta
Propre répugnante subjugation Jack parce que c'est
Juste toi contre ta libido en loques,
Le virage et le croque mort, pour toujours
Et ce ne serait pas de la chance si tu pouvais
Sortir de la vie en vie
Frapper aux portes du paradis...
Bob Dylan
«Tout enfant, j'ai senti dans mon c½ur deux sentiments contradictoires : l'horreur de la vie et l'extase de la vie.»
Baudelaire.
(!_!) DeadlyHappy~
"Mother, do you think they'll try to break my balls ?"
La mort n'est qu'un passage de la vie & l'éternité ne sera pour moi qu'un instant.
Golbut!
CTB - CB
BCM
Je vous aime les Gens.
Vers l'infini et l'au-delà..
Laura Slonkÿ Floyd's product.
♥N'oubliez jamais.
Je ne cherche pas la beauté, je cherche la vérité et de quoi occuper mon esprit quelques temps.
Il est vrai, que l'intérêt que l'on aspire envers une personne rend consciemment aveugle.
Mais on s'en fiche ?...
SLonkÿ
"Aimer, c'est être embêtant, tatillon, exigeant, c'est vouloir qu'on soit mieux qu'on est, c'est empoisonner l'existence de l'être qu'on aime." Jean Dutourd
J'ai menti dans tous les sens. J'ai perdu les personnes qui comptaient le plus pour moi. Je me suis perdue moi-même.
J'ai le sentiment que tout s'en est allé le jour de mes dix-huit ans, que c'est trop difficile de se l'expliquer.
Je ne veux pas voir la vérité en face mais elle m'inquiète fortement car je suis désemparée de me retrouver à haïr ainsi tout ce que j'ai pu construire. Déçue, déçue de voir que tout est infondé, déçue de ne pas avoir été à la hauteur et pour les uns et pour les autres. Je préfère ne pas me l'avouer et baisser la tête mais je suis désolée à un point que même moi ne saurait caractérisé.
La secousse que je vis en ce moment - ce morceau de moi éteint...
________________________
Vous savez ce que c'est vous que de ramper par-terre, de ne plus avoir d'appétit, plus goût à rien, même plus réussir à vous tenir droit et vous sentir comme un moins que rien. Vous le savez ? Alors cherchez au tréfonds, taquinez un peu votre esprit, dites lui que ce n'est pas si grave que ça, le ciel ne vous est pas tombé sur la tête.
Parfois on aimerait mieux mais ça serait trop simple. Alors désactivez vos pensées négatives, préférez les constructives. Soyez comme vous voudriez que l'on vous voit, cette personne est en vous, acceptez son existence et stimulez la.
Le Moi pessimiste / le Moi optimiste
J' crois avoir entendu que les choses simples sont les meilleures. Je dirais même que les choses compliquées sont les plus banales, au final. Les plus vides et médiocres. Aussi instables que normales. Elles ne sont que mauvaises ondes qui polluent l'air de l'esprit et forment des caillots qui bloquent les envies. Mènent à l'échec et nourrissent le mal-être. J' voudrais que vous vous souveniez de ces jours où un seul échange de regard avec un inconnu dans la rue, sans jeu de mots, faisait toute la différence. Où on n'était pas que des fantômes. J' veux pas donner d'importance à ce qui n'en n'a pas.
Puis quelqu'un m'a dit : sois claire comme l'eau qui dort, honnête. A quoi bon jouer un personnage ? Il finira par se dépeindre sur vous. Ce n'est pas une question mais une affirmation. Et affirmer qui je suis, même si ça ne convient pas, je le ferai.
Maintenant, revenons au calme d'autre fois & écoutons la nuit silencieuse. Ces êtres qui voltiges autour de nous et tentent de nous dénuder franchement. Qu'ils le fassent, me voit et me garde ou passent leur chemin.
__________________
Qui peut dire mon état ? je certifie avoir fait le nécessaire. De plus, ce n'est pas une maladie grave, c'est juste le début, vous le savez vous-même. Mais enfin, je ne crois pas avoir besoin d'en parler, sauf pour vous dire combien ceci est éphémère et que votre seul pouvoir est d'avancer sans vous retourner ou s'en foutre. Non ? On ne vous a jamais fait ce discours ? Alors je vous le répète, puisque rien n'a plus d'importance sauf l'humain que vous êtes et ce que vous en faites. On peut parler d'inadvertance ou d'inattention mais tout repose sur vous. Soulevez-vous et souvenez-vous que vous seul tenez les cartes en main, comme me l'a dit un jour un être cher.
J'ai le sentiment que tout s'en est allé le jour de mes dix-huit ans, que c'est trop difficile de se l'expliquer.
Je ne veux pas voir la vérité en face mais elle m'inquiète fortement car je suis désemparée de me retrouver à haïr ainsi tout ce que j'ai pu construire. Déçue, déçue de voir que tout est infondé, déçue de ne pas avoir été à la hauteur et pour les uns et pour les autres. Je préfère ne pas me l'avouer et baisser la tête mais je suis désolée à un point que même moi ne saurait caractérisé.
La secousse que je vis en ce moment - ce morceau de moi éteint...
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Vous savez ce que c'est vous que de ramper par-terre, de ne plus avoir d'appétit, plus goût à rien, même plus réussir à vous tenir droit et vous sentir comme un moins que rien. Vous le savez ? Alors cherchez au tréfonds, taquinez un peu votre esprit, dites lui que ce n'est pas si grave que ça, le ciel ne vous est pas tombé sur la tête.
Parfois on aimerait mieux mais ça serait trop simple. Alors désactivez vos pensées négatives, préférez les constructives. Soyez comme vous voudriez que l'on vous voit, cette personne est en vous, acceptez son existence et stimulez la.
Le Moi pessimiste / le Moi optimiste
J' crois avoir entendu que les choses simples sont les meilleures. Je dirais même que les choses compliquées sont les plus banales, au final. Les plus vides et médiocres. Aussi instables que normales. Elles ne sont que mauvaises ondes qui polluent l'air de l'esprit et forment des caillots qui bloquent les envies. Mènent à l'échec et nourrissent le mal-être. J' voudrais que vous vous souveniez de ces jours où un seul échange de regard avec un inconnu dans la rue, sans jeu de mots, faisait toute la différence. Où on n'était pas que des fantômes. J' veux pas donner d'importance à ce qui n'en n'a pas.
Puis quelqu'un m'a dit : sois claire comme l'eau qui dort, honnête. A quoi bon jouer un personnage ? Il finira par se dépeindre sur vous. Ce n'est pas une question mais une affirmation. Et affirmer qui je suis, même si ça ne convient pas, je le ferai.
Maintenant, revenons au calme d'autre fois & écoutons la nuit silencieuse. Ces êtres qui voltiges autour de nous et tentent de nous dénuder franchement. Qu'ils le fassent, me voit et me garde ou passent leur chemin.
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Qui peut dire mon état ? je certifie avoir fait le nécessaire. De plus, ce n'est pas une maladie grave, c'est juste le début, vous le savez vous-même. Mais enfin, je ne crois pas avoir besoin d'en parler, sauf pour vous dire combien ceci est éphémère et que votre seul pouvoir est d'avancer sans vous retourner ou s'en foutre. Non ? On ne vous a jamais fait ce discours ? Alors je vous le répète, puisque rien n'a plus d'importance sauf l'humain que vous êtes et ce que vous en faites. On peut parler d'inadvertance ou d'inattention mais tout repose sur vous. Soulevez-vous et souvenez-vous que vous seul tenez les cartes en main, comme me l'a dit un jour un être cher.
"Pour écrire l'histoire de sa vie, il faut d'abord avoir vécu; aussi n'est-ce pas la mienne que j'écris.
[Mais de même qu'un blessé atteint de la gangrène s'en va dans un amphithéâtre se faire couper un membre pourri ; et le professeur qui l'ampute, couvrant d'un linge blanc le membre séparé du corps, le fait circuler de mains en mains par tout l'amphithéâtre, pour que les élèves l'examinent ; de même, lorsqu'un certain temps de l'existence d'un homme, et, pour ainsi dire, un des membres de sa vie a été blessé et gangrené par une maladie morale, il peut couper cette portion de lui-même, la retrancher du reste de sa vie, et la faire circuler sur la place publique, afin que les gens du même âge palpent et jugent la maladie.
Ainsi,] ayant été atteint, dans la première fleur de la jeunesse, d'une maladie morale abominable, je raconte ce qui m'est arrivé pendant trois ans. Si j'étais seul malade, je n'en dirais rien; mais comme il y en a beaucoup d'autres que moi qui souffrent du même mal, j'écris pour ceux-là, sans trop savoir s'ils y feront attention ; car, dans le cas où personne n'y prendrait garde, j'aurai encore retiré ce fruit de mes paroles de m'être mieux guéri moi-même, et, comme le renard pris au piège, j'aurai rongé mon pied captif.
[...]
Le siècle présent, en un mot, qui sépare le passé de l'avenir, qui n'est ni l'un ni l'autre et qui ressemble à tous deux à la fois, et où l'on ne sait, à chaque pas qu'on fait, si l'on marche sur une semence ou un débris."
Musset - La confession d'un enfant du siècle
[Mais de même qu'un blessé atteint de la gangrène s'en va dans un amphithéâtre se faire couper un membre pourri ; et le professeur qui l'ampute, couvrant d'un linge blanc le membre séparé du corps, le fait circuler de mains en mains par tout l'amphithéâtre, pour que les élèves l'examinent ; de même, lorsqu'un certain temps de l'existence d'un homme, et, pour ainsi dire, un des membres de sa vie a été blessé et gangrené par une maladie morale, il peut couper cette portion de lui-même, la retrancher du reste de sa vie, et la faire circuler sur la place publique, afin que les gens du même âge palpent et jugent la maladie.
Ainsi,] ayant été atteint, dans la première fleur de la jeunesse, d'une maladie morale abominable, je raconte ce qui m'est arrivé pendant trois ans. Si j'étais seul malade, je n'en dirais rien; mais comme il y en a beaucoup d'autres que moi qui souffrent du même mal, j'écris pour ceux-là, sans trop savoir s'ils y feront attention ; car, dans le cas où personne n'y prendrait garde, j'aurai encore retiré ce fruit de mes paroles de m'être mieux guéri moi-même, et, comme le renard pris au piège, j'aurai rongé mon pied captif.
[...]
Le siècle présent, en un mot, qui sépare le passé de l'avenir, qui n'est ni l'un ni l'autre et qui ressemble à tous deux à la fois, et où l'on ne sait, à chaque pas qu'on fait, si l'on marche sur une semence ou un débris."
Musset - La confession d'un enfant du siècle
Je suis un fantôme dénudé d'âme. Mon apparence, il me l'a volé au profit d'un meilleur lendemain. Une ruine, défaite de pierres. On m'a assassiné à coups de canon. On m'a transpercé le c½ur durant la guerre de l'amour. Ton reflet se revient dans mes yeux, l'odeur poignante de ton armure, chevalier mystérieux. Ma défaite est annoncée, cette arme plantée au travers demoi, ayant déjà crevée mes poumons à trois reprises et je ne respire plus. Qu'en est-il de ce reste cadavérique ? J'aimerais le savoir. Déchiqueter chaque os pour qu'enfin puisse partir le mal.
Souffrance, va-t-en, j'en ai soupé de toi. Je ne peux plus te garder, je fond tout à l'intérieur. Mes organes ont rétréci et la peur m'a rongé.
___________________________
Je ne supportais plus le fait d'être loin de lui, de souffrir de ce vide et de ce manque. Je devenais odieuse et j'ai dit des choses qu'on ne dit pas à la personne qu'on aime.
Il m'a regardé et il m'a dit "tu connais le syndrome de Kirikou ?"
- Non m'sieur, j'ai répondu.
- Est-ce que tu te souviens de Caraba la sorcière qui fait du mal à tous ceux qui croisent son chemin ? Tu sais pourquoi elle était si mauvaise ? Souviens-toi de la fin du film. Est-ce que tu arrives à te la remémorer ?
- Non...
- Alors écoute, à la fin, Kirikou bondit sur le dos de la femme, il lui arrache l'épine qu'elle a dans le dos. Puis tout à coup elle redevient gentille et tout est magique. Coïncidence ?
- Ah !
Souffrance, va-t-en, j'en ai soupé de toi. Je ne peux plus te garder, je fond tout à l'intérieur. Mes organes ont rétréci et la peur m'a rongé.
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Je ne supportais plus le fait d'être loin de lui, de souffrir de ce vide et de ce manque. Je devenais odieuse et j'ai dit des choses qu'on ne dit pas à la personne qu'on aime.
Il m'a regardé et il m'a dit "tu connais le syndrome de Kirikou ?"
- Non m'sieur, j'ai répondu.
- Est-ce que tu te souviens de Caraba la sorcière qui fait du mal à tous ceux qui croisent son chemin ? Tu sais pourquoi elle était si mauvaise ? Souviens-toi de la fin du film. Est-ce que tu arrives à te la remémorer ?
- Non...
- Alors écoute, à la fin, Kirikou bondit sur le dos de la femme, il lui arrache l'épine qu'elle a dans le dos. Puis tout à coup elle redevient gentille et tout est magique. Coïncidence ?
- Ah !
Ramène-moi d'entre les morts
Rappelle-moi ce que c'est que de vivre
Ce que c'est de s'attacher et d'aimer profondément
Intensément
Je ne ressens pas/plus grand chose :)
Tout ce que je recherche, ce sont les lignes de temps ^^
Wanda <3
Rappelle-moi ce que c'est que de vivre
Ce que c'est de s'attacher et d'aimer profondément
Intensément
Je ne ressens pas/plus grand chose :)
Tout ce que je recherche, ce sont les lignes de temps ^^
Wanda <3
Les artifices et tout ça, ça vaut quoi ? Encore une question d'ego et d' caprice, j'y vois que du triste, j'y vois que de l'attente et du courage pour continuer le voyage. C'est comme une longue séance d'hypnose, tu poses ta dose, tu regardes ce qui se passe et t'explose. Le plus amusant c'est qu'y aura pas de constat parce que tu seras plus là pour voir les dégâts. On ne croit plus en l'amour, on a plus que le désir d'attendre et peut-être essayer de s'entendre, faire des compromis c'est tellement évident. L'évidence, c'est quoi ?
Toi, dans un coin de la pièce et moi dans l'autre ? Chacun son espace, va, mélange pas tout.
La seule certitude que t'as, c'est ta mort et encore, des fois c'est pas toujours ce dont t'as rêvé, t'es trop vieux, ruiné, trop lassé devant ta télé. T'as osé rester jusque là, chapeau, tu laisses couler derrière toi une longue trainée de bave, ouais, faut dire, t'as pas vraiment eu le choix. A cet âge là, normalement tu devrais plus tenir debout. Ah, vive les médocs ! On fera tout pour te pousser à bout, pour que t'enchaîne les cent coups. Mais à quoi bon, t'es seul dans ta piaule, même ton chien est crevé. Et t'attend qu'une seule chose, c'est qu'on la laisse venir te chercher, la vieille morue.
LDL
Toi, dans un coin de la pièce et moi dans l'autre ? Chacun son espace, va, mélange pas tout.
La seule certitude que t'as, c'est ta mort et encore, des fois c'est pas toujours ce dont t'as rêvé, t'es trop vieux, ruiné, trop lassé devant ta télé. T'as osé rester jusque là, chapeau, tu laisses couler derrière toi une longue trainée de bave, ouais, faut dire, t'as pas vraiment eu le choix. A cet âge là, normalement tu devrais plus tenir debout. Ah, vive les médocs ! On fera tout pour te pousser à bout, pour que t'enchaîne les cent coups. Mais à quoi bon, t'es seul dans ta piaule, même ton chien est crevé. Et t'attend qu'une seule chose, c'est qu'on la laisse venir te chercher, la vieille morue.
LDL
